Un classique, les maths. Chaque verbe a un nombre, chaque objet aussi, on additionne « renifler » (8) et « momie » (41) et on va au 49. Ça doit pas être difficile de s’arranger pour avoir des sommes uniques. Mais bon, tout le monde n’est pas à l’aise pour ce genre de calcul.
Un tableau à double entrée avec les verbes et les objets, le résultat est le paragraphe.
murs
vent
momie
prendre
7
examiner
41
22
ouvrir
40
lécher
17
89
écouter
36
102
29
Une version plus ludique : placer les verbes et les objets sur un périmètre (cercle, carré…) et à l’intérieur de la forme choisie, un tas de nombres. Quand on tire une droite entre un verbe et un objet, il passe par un unique nombre, le paragraphe à aller lire.
J’aime vraiment le cercle ! Ça ouvre vraiment plein de possibilités. Genre ajouter un passage quand on relie deux verbes, mettre un réponse par défaut quand on fait une action insensée… Et on peut avoir un cercle différent par endroit.
Le défaut, c’est qu’on s’éloigne du côté « trouver la commande par soi-même ». Là, on a toutes les options visible d’un seul coup d’œil. En fait, on s’approche du Texture dont vous êtes le héros !
Et c’est moins agréable à jouer en PDF, mais c’est pas trop grave.
J’arrive presque au bout de mon fichier d’idées, il va bientôt falloir en trouver de nouvelles…
Idée 12 : Détours en Onirie
Pour retrouver un souvenir perdu, le protagoniste doit, dans ses rêves, trouver la demeure de Mnémé avant de se réveiller.
Comme le nom l’indique, c’était un concept pour la seconde Partim 500, dont le thème était « détours ».
Les différentes péripéties sont modélisées par des storylets permettant de changer l’état du rêve ou d’obtenir des objets. Une jauge de concentration fait se réveiller et perdre quand elle tombe à zéro. Si on maintient le rêve assez longtemps, on retrouve le souvenir dans les profondeurs du rêve.
Je trouve que le côté un peu décousu des storylets correspond bien à l’idée de rêve. Ça n’est pas grave si l’enchaînement est un peu incohérent.
Finalement, à l’époque, je n’ai pas réussi à faire des storylets avec ink et 500 mots c’était trop serré et j’ai fait autre chose.