Fautes de jeux soumis, le concours cette année est annulé
C’est dommage, c’est décevant… mais c’est déjà arrivé ! Difficile de faire vivre un concours pour une petite communauté d’auteurs ; la communauté avait besoin de se ressourcer cette année apparemment, et c’est pas grave !
2017 va quand même être riche en évènements : nous allons rénover notre site (c’est presque fini !) et le rendre plus moderne et plus attractif ! Au programme, des contenus fréquents, une meilleure organisation de jeux, des articles de fond… En espérant attirer plus de joueurs, et d’auteurs !
De votre côté continuez à vous amuser avec la fiction interactive Avancez sur vos projets, démarrez-en d’autres, faites des jams, aidez-nous pour le site, postez ici, jouez aux jeux des autres, faites vivre la FI ! Et n’hésitez pas à en parler autour de vous et dans vos réseaux ; il est temps de faire sortir la FI du bois !
Merci à vous en tout cas, et en vous souhaitant une année 2017 riche en FI
Même si ça doit être une des raisons, il faudrait se demander s’il n’y a pas eu d’autres choses qui ont joué.
L’une des choses les plus évidentes, c’est que la communauté est trop petite : il suffit que quelques-uns aient des empêchements pour que tout tombe à l’eau. Ce qu’il faudrait, c’est une communauté plus active tout au long de l’année, pour que les gens voient plus en quoi consiste la fiction interactive. Parce que si je dis dans le vide « Viens écrire une fiction interactive pour notre concours ! », eh bien les gens ne sauront pas trop de quoi il s’agit ou pourquoi ils devraient le faire.
On peut aussi faire remarquer que le Partim 500 a relativement bien fonctionné, alors que c’est tout nouveau. Et pourtant, la plupart des participants avaient trouvé que c’était difficile de rester sous les 500 mots ! Un des trucs qui aidé, c’était la motivation : on se rencontrait tous les jours sur Discord et c’était vraiment motivant. Il faudrait qu’on fasse quelque chose dans le genre pour le concours de l’année prochaine.
Je pense que le nouveau site, si on arrive à le fournir en contenu de manière régulière, peut permettre d’améliorer ces points. Il suffirait d’écrire au moins une nouvelle toutes les semaines (disons), ça nous ferait des choses à raconter, on paraîtrait plus dynamique. Et donc, comme Mule le dit si bien :
L’une des participantes de la Partim 500 est une autrice qui vient tout simplement du serveur Discord consacré au NaNoWriMo. Il y a beaucoup de forums dédiés à l’écriture où notre concours serait peut-être mieux accueilli que sur les forums dédiés aux jeux vidéos.
Bon, j’ai quand même pu faire un peu de pub aussi sur jeuxvideo.com, section création de jeux… Je pense que la pub sauvage passe mal, ce qui peut se comprendre, mais si on demande la permission d’abord au modérateur il y a moyen de s’entendre. Ceci dit, s’il y a eu qques réponses à mon annonce de gens qui s’intéressaient au concept, personne n’est venu.
Par contre, vraiment, chez les gens qui écrivent des nouvelles / romans, il y a tellement peu de public pour lire ce qui est écrit que certaines personnes pourraient bien être tentées de passer à la fiction interactive pour toucher d’autres publics. A condition en effet de pouvoir montrer concrètement de quoi il s’agit. Pour la plupart des gens ça reste nébuleux, surtout que désormais il y a plusieurs sortes de fictions interactives.
Ah, j’aurais dit l’inverse : « chez les gens qui écrivent des IF il y a tellement peu de public pour lire ce qui est écrit que certaines personnes pourraient bien être tentées de passer à l’écriture de nouvelles / romans pour toucher d’autres publics. ». Du coup peut-être qu’il y a trop d’auteurs et pas assez de lecteurs pour ce genre de choses, ou peut-être de trop créateurs de façon générale dans notre époque…
lol, oui j’y ai pensé en l’écrivant, héhé… Dans les deux cas il n’y a pas beaucoup de public, mais l’avantage quand on écrit une fiction interactive, peut-être, c’est qu’on a des « lecteurs » plus actifs, dont on peut avoir des retours, des tests, etc, parce que l’offre est plus rare. Avec un texte pur, c’est difficile d’être lu ne serait-ce qu’une dizaine de fois.